DJANGO

Django,

Seul...

Debout contre un mur,

Joue de la guitare.

Il n'est pas accompagné...

Si ce n'est par sa voix.

Chant,

Accords,

Personne ne l'entend ?

Mélodie rythmé.

Les cordes vocale vibres,

En rythme avec celle de son instrument.

Parfois, il frappe sur la caisse,

De celui-ci.

Pour amplifié,

Sa musique.

Chant saccadé.

Les gents continue de passé.

Lui il s'envole,

Il est ailleurs.

Tout son corps joue.

Il est musique.

Musicien dans l'âme,

Ses chanson me touche

Au plus profond de celle-ci...

Car, il c'est y faire.

Il entraîne tout le monde, dans son monde.

Univers mélodieux.

Joyeux et parfois triste.

Envoûtant.

Il nous en mène loin,

Dans son chant accompagné de sa guitare.

De son pied, il garde le tempo.

Rythmes ;

Comme dirait Bertrand

Il envoi du lourd,

Chaud devant.

Sa Musicalité est « Fun »

Tout le monde ce met à danser !!!

C'est la joie.

Ivresse et apocalypse se mêle.

Les gents frappe dans les mains

Accompagnent le refrain ;

Car tout le monde connaissent,

Ses chansons.

Il est parfait.

Dernier accord.

Il rouvre les yeux.

Seul contre son mur.

Il joue sa musique.

Rien ni fait, les gents passent,

Sans le voir,

Le calculer.

Ils non rien donné ;

Même pas une petite pièce.

Bientôt, il va recommencer ;

Il partira dans un nouveau chant.

Il s'enfuira dans ses sons,

Se mettra tant tout ses états,

Tout en espérant,

Que quelqu'un enfin l'écoute.

Car tout cela, n'était qu'un rêve.

Jouer pour se faire entendre.

Enfin, que quelqu'un s'arrête,

Se met à l'écouter.

Dans cette rue,

Passante.