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POEMES DE STEPHANE PRUVOT
POEMES DE STEPHANE PRUVOT
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8 avril 2020

Un rêve, quelques pensées, non je ne veux pas me noyer.

Je suis comme cette africaine,

Qui pense qu’un monde meilleur,

Est par de là la mer.

Peut-être, suis-je aussi toujours plus à rêver, à espérer ?

Que vouloir confronter à ma réalité,

Et construire, et affronter tous les jours une réalité ?

A défaut de la fuir, même si moi elle n’est pas seulement économique, ni vital.

Donc peut-être un luxe, mais toujours un choix.

Et la traversée du désert a été longue.

On parle même de viol, de vol, pire d’arnaques en tout genre et situations invivables.

TOUTE cette énergie face à leur rêves dépensés,

Sont comme un sacrifice qui finit par être mortelle parfois.

Mais est-ce le « rêve » qui tue parfois ? Ou est-ce ceux qui profite de nos rêves pour nous berner, posséder, déposséder, ou montrer leurs « complexisation » ? (notion de complexe et sa complexité)

Ou comme me disait un ami : des « Profiteurs »

Mais n’en avons-nous pas tous des complexes ?

Et, à la longue qui profite de qui ?

Je ne recherche pas de responsable…

Car ne somme nous pas aussi coupable de rêver, face à d’autre qui ne peuvent que le refuser ?

Car ne sommes-nous pas tous inconscient ?

A notre façons… Peut-être…

Y a-t-il une unique vérité, un sens à notre vie ?

Sommes-nous, si primitif ?

Nos besoins, nous dirigent-ils ?

Nos envies de vivre mieux économiquement par exemple, ou notre envie de bien être est-il forcément égoïste ? Est-il parfois un luxe ? Y aura-t-il toujours conflit entre dans nos besoin conscient ou inconscient, nos besoins de groupe ou individuel ?

Espérer, bien ou mieux vivre pour sois et sa famille par exemple ? être considéré ? Trouvé sa place en tant qu’être humain parmi l’humanité ? Est-ce que tous ont ce le luxe de pouvoir se poser cette question, d’y penser un jour, je l’espère en tout cas, malgré le quotidien de chacun et son ouverture d’esprit, mais tous nous avons le droit de rêver, de conscientiser, si nous le souhaitons. Même si parfois cela peut faire mal et peut nous mette en danger aussi. La vie est risquée.

Certain en tout cas doivent traverser des mers, ou des océans, des frontières…

Ses propres frontières ?

Se retrouver dans un autre monde, ou ils pourront aux mieux reconstruire leur monde,

Monde perdu, où ils seront socialement et souvent culturellement transformé, car déraciné.

Les valeurs humaines, sont-elles universelles, peuvent-elles être en nous tous, et cet « humanité » acceptée par tous ? existe-t-il un « bon sens » universelle ?

Je l’espère, d’ailleurs certaine le sont pour moi ; comme la « liberté » de rêver, d’espérer, en font partie. Ainsi que comme souvent ma dialectique francophone qui m’’impose à ma conscience ses contradictions, son masculin sa féminité, mais aussi certains mots plus nuancés, ou des vieux concepts, que renferme ses mots : « liberté, égalité, fraternité » et qui aujourd’hui souffre de notre manque d’humanité.

Même si aux bouts de mes rêves, il y aura forcément la mort, car l’humanité dans laquelle je vie actuellement ne nous a pas encore conçus comme physiquement éternelle.

Même si beaucoup aujourd’hui dans ma culture, ses concepts, comme « jeunesse éternelle », ou « immortalité » sont présent et donc peut-être que notre avancé scientifique finira par les découvrir et nos politiques les socialiser, l’humaniser pour que tous finissent par l’accepter, avec donc ses contreparties. Car la terre ; elle est « finie ».

Des solutions comme, trouver d’autre planète « vivable » ou « habitable » dans l’espace et, ou, forcément contrôlé la vie sur terre. Car la vie finira par devoir être pensé comme une « vie-autonome » comme pour de très long voyage dans l’espace, avec le risque de contrôler notre ancienne conception de liberté, peut-être de contrôle des naissances, et d’autres changement dans notre humanité, « liberté individuelle » et « conscience collective ». Ne pensons-nous, pas que l’espace à l’inverse de la terre est infini ? Que la lune est proche ?

Et l’écologie dans tout cela ? Beaucoup de problème beaucoup de solution à trouver donc.

Devrons nous pouvoir gérer ou créer notre propre « éco-système » ?

Seul certains vestiges ont traversé les âges dans notre civilisation, matérielle ou non. Certains les préserves ou essaie de le faire, de détruire ou de reconstruire, et donc forcément d’autres les en empêches, car la notion de vie et de mort est encore présente lorsque j’écris ses phrases.

A quand donc cette immortalité ?

Qui elle, je pense à notre époque est admise, comme  celle de notre « mondialisation », planétaire … et donc « fini » (comme je le disait plus tôt).

Concept qui je pense aujourd’hui présent dans notre société occidentale,

Et pouvant elle aussi se réaliser, ou devenir.

La fin d’un monde ??? ou du monde ???

Il n’y a qu’un fleuve, une mer ou un océan, des frontières à traverser.

Certes, je ne finirais peut-être pas ce voyage, cette traversée…

Mais j’ai l’espoir, que si moi dans mon humanité, je ni arrivais pas, d’autre surement y arriveront et tant bien même…

En tout cas certainement un leurre comme pour tous nos rêves ?

Ou simplement une façon de nous transcender…

Qu’il existe ou pas plus verte prairie ailleurs ?

Cet ailleurs, un jour, il est bon je pense de le construire, ensemble,

Suivant l’évolution, les possibilités, la conscience de chacun.

De notre « humanité ».

Je suis comme cet Africain, j’ai nagé des heures dans cette méditerranée, vais-je bientôt me noyer ?

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