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POEMES DE STEPHANE PRUVOT
POEMES DE STEPHANE PRUVOT
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16 juillet 2011

PENDU!

Le noeud coulant,
Passe entre tes doigts,
Pendant qu'un regard discret,
Saisit la scène.
Dernier cri,
Qui d'un son maudit,
Eclatera,
Pendant que l'oeil,
S'éteint dans un pourpre de jadis.
Ta langue passe sur tes lèvres bleutées.
Ton corps s'agite tel une hirondelle.
Sache qu'une fois,
L'homme paraissait rire dans les aire.
Hilare, la tête basse, le teint verdâtre.
Le ciel s'éclaire d'un rose pâle.
Le pantin s'affole au bout de la corde.

 

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Commentaires
C
IL est vieux ce poeme, non? j'ai souvenir d'une chanson avec ces paroles... Ca fait un bail.. A bientot Stef. Chris
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B
Mé quelle catastrophes ces strophes cé tune orreur !<br /> <br /> Voici un très joly poaime que j" écri moi maime toute seule :<br /> <br /> <br /> Sur les rochers de la <br /> jetée<br /> <br /> quand les marins vont en <br /> bordée<br /> <br /> défiant le vent qui cloue les<br /> bouées<br /> <br /> au pilori de la <br /> marée<br /> <br /> C'totchose nan ? Cé un logissiel que jé qui fé des verts tout seul, ça remplit qoua, c'est feune.
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